DIANZENZA DIAZABAKA, UN GÉNIE QUI FAIT TAIRE.

Quelle éducation pour l’avenir de l’Afrique?

Le mythe des longues études universitaires et des gros diplômes, comme des doctorats et autres, aurait-il réussi a plonger l’Afrique dans une fatale létargie qui la détruit au vu et au su de tous les Africains devenus subitement impuissants?

Les Africains les plus diplomés s’avèrent être les plus grands ennemis de leurs propres peuples, les plus méprisants et les plus indifférents face à l’avenir de l’Afrique; aurait-on tort d’affimer que l’école occidentale qui était supposée “développer et civiliser” l’Africain l’a finalement et simplement ruiné?

Le complexe d’inferiorité vis à vis des autres aurait-il réussi à parasiter la conscience des Africains sub-sahariens au point qu’ils se sont presque emprisonnés dans le déni et le mépris de soi?

La paresse du mendient affecterait-il les Africains au point qu’ils n’osent même plus s’identifier à leurs valeureux héros, à leurs grands et vaillants guerriers, à leurs légendaires rois et reines, à leurs éminents savants qui ont tous impacter le monde entier hier et aujourd’hui?

Les Africains sub-sahariens sont parmi les humains les plus intelligents et les plus diplomés de cette planète terre, mais comment comprendre et comment expliquer que les mêmes Africains, aux affaires dans leurs propres pays, sont incapables de mettre en pratique leur savoir à leur propre service, pour batir et gerer leurs propres biens?

Comment comprendre et comment expliquer que les Africains sub-sahariens sont eux-mêmes des destructeurs de leur propre vies? Des brûleurs de leurs propres destin? Des assassins de leur propre avenir en détruisant leurs propres enfants?

Autant de questions légitimes que l’on est en droit de se poser au regard des conditions de vie de la jeunesse africaine qui se sent obligée d’aller périr dans le cynisme et dans le mépris le plus total chez les autres.

Face à cet abandon cruel de l’Afrique par ses élites qui avaient la noble et sacrée responsabilité de l’élever, certains jeunes Africains, refusant de sombrer dans la fatalité, résistant à la folie des lâches, ont tout de même décidé d’attraper le torreau par les cornes et de se battre pour leur avenir; c’est ce que fait ce jeune artisan Congolais nommé Dianzenza Diazabakana qui, par ses propres moyens, a courageusement brisé les chaines de la fatalité pour se frayer un chemin vers un honorable avenir.

Black and Proud rend ici un vibrant hommage à ce jeune homme qui est un exemple et qui devrait inspirer la jeunesse congolaise et africaine en general.

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